Pdg Une Fois…Pdg Toujours

PDG une fois…PDG toujours

Elle est… comment dirais-je :…non, elle est loin d’être sotte, dans un cadre privé, même un peu pétassée, Lucilie : elle connaît l’effet de son charme qu’elle produisit aux hommes.
Le nouveau commercial qu’elle venait engager, lui, Fabrice, en faisait parti. Lucilie s’imagine bien, qu’il y aura un moment venu, après avoir étudié les points faible de ce gaillard, qu’elle puisse se servir de lui – quitte à lui faire comprendre : que c’est cela, ou la porte.
Lucilie possède tous les avantages féminins, son corps fait rêveur. Elle sait séduire, se mettre en valeur, oh oui ! Personne ne lui donne le nombre de ses printemps derrière elle. Célibataire endurcie de par le boulot, elle dirige l’entreprise de son père, lequel s’est vu gentiment guidé à la retraite par sa fille, après un séjour d’hôpital. Ce n’était qu’une alerte, rien trop grave. Mais Lucilie parvint lui faire comprendre, que c’est le moment du repos mérité. Auparavant, elle était déjà dans l’entreprise, lui secondant. La perspective d’une vie paisible, dans sa propriété secondaire sur l’Île de Ré, voisin du médecin, son ami d’enfance, présenté sous cet angle par sa fille, était déterminant. Il lâchait l’affaire, remettant le règne à Lucilie, la nouvelle patronne, financièrement assuré par une participation conséquente.
Déjà avant Lucilie s’est fait respecter, parfois craindre. Ses exigences pointues s’étendent sur tous les domaines, professionnels ou privés. Elle obtient toujours ce qu’elle veut, d’une manière ou autre. Elle met constamment la pression sur le résultat, les deux aspects confondus : professionnels ou privés. Lucilie sait parfaitement évaluer et profiler.
Fabrice, bien qu’employé que depuis deux mois, avait réussi d’ouvrir un gros marché, une affaire colossale avec l’Asie, relations auparavant plutôt négligées par son père. Son bilan avait connu une ascension fulgurante, un avenir inimaginable. En plus beau gosse, un caractère plutôt trempé d’apparence.

Lucilie, elle est du même bois. Bon, il faut s’attendre à des étincelles. Ce défi remue Lucilie, elle aime s’exposer au danger, affronte !
Bien des hommes voudraient se lier à elle. Lucilie s’en sert à bien des occasions pour se rassasier de leurs instruments, puis elle les met en place. Mais ses besoins sont voraces, elle les veut dociles, percutants, bien outillés, les éjecte après la plus part de temps ou les délocalisent. La routine n’est pas son genre.
Fabrice ne semble pas être un gars facile à manier, ses atouts d’hommes, hormis ses compétences professionnelles, attirent au plus haut point.
Elle est féline et comme tous les félins, capable de leurrer leurs proies, Lucilie avait décidée de jeter son dévolue sur lui. Elle n’attend que son retour du voyage d’Asie. Les séances, rapportant le voyage, qui en suivirent vont certainement lui donner l’occasion de se profiler. Son filet tendu aura des mailles très serrés. Pas d’échappatoire possible, ou…la porte ! Pour éviter le dernier, Lucilie avait fait élaborer un contrat participatif à tel point alléchant, qu’elle ne pense pas un seul instant à l’issu fatal.
Lucilie c’est contenue strictement à son stratagème durant ses deux semaines passés. Par de sauteries habituelles, que mise en place de son filet. Seule exception pour son équilibre Corinne, sa cousine. Oui, depuis sa sortie du lycée et mariée jeune à un gars pas trop affamé sexuellement, au besoin il y est, elles se gouinent. Lucilie la soutient financièrement quelques fois, dans les cas durs. Il est claire comme l’eau que cette relation ne va jamais changer, que Fabrice, si elle parvint de mettre son grappin, y consent ou pas ! Au dernier, elle parviendra y mettre son seau de secret. Corinne fait partie de ses besoins, et vis-versa.
Une partie de son stratagème consiste à dominer Fabrice, lui accordant ensuite, si nécessaire et selon son ergo, plus de docilité.
Le personnel commence à quitter les locaux, étant seul maître sur les lieux, Lucilie se déboutonna, se charge à exciter ses mamelons, vois ses tétons fièrement dresser, malheureusement Corinne n’est pas là, elle se pourvoit, en primo ses sein qu’elle admit, ses caresses font monter son excitation, ainsi ses pensées à Fabrice.
Ces mains la libèrent de sa jupe, ainsi son string. Lucilie se lève, se pose devant la grande paroi de miroir, elle veut voir infester sa main sa féminité…une autre fierté d’elle. Démunie de toute pilosité, son bijou de minou s’ouvre à ses caresses. Au préalable les pensées à Fabrice et Corinne l’avaient déjà humidifié. Un doigt imbibé de sa cyprine tournant dans les petites lèvres, fait monter d’avantage l’excroissance érigée. Ses amants raffolaient de ce centre de plaisir. Lucilie, elle n’on est pas moins fière de son clitoris dressé, très arrogant en mini-bite, dépassant légèrement deux doigts. Corinne le proclamait toujours : son trésor ! Lucilie décidai de se jouer uniquement de son pistil boutonneux pour s’assouvir. L’image reflétée dans le miroir porta un plus à l’excitation. Lubrifiant régulièrement son doigt tourmente son bouton et contribua sans faille tout droit à son orgasme. Elle retint le flot de sa cyprine abondant de sa main, en suit délectation…Humm, miam, miam…
Puis Lucilie se promène devant le miroir, admirant sa silhouette, sa guêpière, ses longues jambes moulées des bas autocollants, son soutien-gorge en dentelle, ses formes, sa belle coiffure, ses fesses rebondissant, se disant à mi-voix :
- Ça, impossible que Fabrice puisse y renoncer, au moins qu’il sera PD
Elle passa ensuite dans sa luxurieuse salle de bain atteignant à son bureau de PDG, étant très à cheval de son hygiène.
Fabrice est attendu vendredi de cette semaine. Il reste à couvrir deux jours jusqu’au son arrivée. Elle appelle Corinne, et la commande chez elle le soir même.
- J’ai un nouveau rôle pour toi chérie. Tu va jouer la maîtresse ce soir, tu va m’apprendre la docilité. Bien, tu peux aller direct, je te rejoins dans 30 minutes chérie. – non, pas besoin d’habillement spécial, juste la manière ! Il faut que tu m’apprennes de quémander ‘pardon maîtresse’- vas-y franchement ! –Je sais, ça changera de tout au tout, - mais c’est juste un entrainement ma puce !
La métamorphose physique de Lucilie était flagrante et visant un but précis quant à elle, n’a pas failli ! Corinne était un peu gênée par le rôle que Lucilie lui avait collé, mais elle s’appliquait.
Parfois elles sont parties en éclats de rires, pour reprendre le jeu, jusqu’à la maîtrise satisfaisante. Finalement Corinne s’y plaisait.
On frappe à la porte du bureau directorial. Normalement les visites sont au préalable annoncées par la secrétaire. Lucilie répond :
- Entrez !
En voyant Fabrice entrer, qui s’était permit forcer ses habitudes, elle se lève enthousiasmée et le rejoint, l’embrassant même cordialement.
- Euh, ben… Je m’attendais pas à un accueille aussi chaleureux patronne… Je vous aurais manqué ?
Lucilie lui assigne une place sur le canapé, cria par l’interphone :
- Deux express s’il vous plaît !
Elle pousse le fauteuil prêt du canapé, et s’assoie un peu fébrile en face de Fabrice. Le dernier s’aperçoit que le vent a changé la direction, sa patronne presque émoustillée, en face de lui. La porte s’ouvre, les cafés sont servis.
- Fabrice, je vous propose de faire votre exposé en séance avec nos cadres. Je l’avais fixé à 10h30, si ça vous va ! Il nous reste 1h30. Sinon demain, si vous préférez ? Allons bavarder un peu de votre voyage, vous voulez bien ?
- Euh… oui, si vous voulez patronne !
- Laissez de coté les formalités dorénavant, Fabrice, appelez-moi Lucilie, d’accord ? Juste un petit mot : tout allait bien ? Il émane beaucoup de chaleur dans ses paroles. Aucun instant elle dévia de son projet de le faire prendre dans son filet.
- Merci patro… euh, Lucilie ! Très, très bien. Mieux que je puisse espérer, sur toute la ligne. Il faut pas mal recruter du personnel, je vous le dis ! Les dernières commandes ont été livrées ?
- Oui, bien sûr Fabrice, même avant la date prévue ! J’espère que vous n’avez rien prévu ses jours-ci et que vous puissiez m’accorder votre temps précieux ?
- Bien sûr, à part la séance tout à l’heure, j’ai besoin de vous parlez de beaucoup de choses !
- Eh ben ! Moi aussi, cher Fabrice, énormément ! Bien des choses vont changer pour vous mon cher, vous n’avez pas idée !
- A bon ! En quoi ?
- Nous allons le débattre dans un cadre plus agréable.
Venez chez moi, je vous invite au super vers 19h ce soir !
- Avec grand plaisir Lucilie, j’y serais !
- Je vous envoie mon chauffeur ! Pas de soucis pour l’alcool, on va quand-même fêter cela dignement, n’est-ce pas ?
- Dites, à quoi dois-je ce brusque chavirement relationnel précisément ?
- Je ne vous le dévoile pas maintenant cher Fabrice, laissez-moi soigner ce petit mystère un peu encore, mais sachez que vous seriez ravi de l’entendre ! Sûr !
L’heure de la séance s’approche. Lucilie fait passer le message par interphone, s’assure que tout le monde est réuni dans la salle. Elle prend Fabrice par le bras et le conduit pour son exposé à la salle de conférence. Arrivée elle lui désigne sa place de PDG et s’assois à sa droite.
- On vous écoute Fabrice!

La sonnette retendit chez Fabrice, le chauffeur s’annonce :
- C’est Karl, votre voiture est avancée Monsieur !
Installé confortablement en arrière de la Mercédès, en background il entend les ères de Nabucco et au moment où le chant des prisonniers commence, Fabrice demanda à Karl d’ouvrir le son. Il se contempla durant le trajet de 30 minutes des Ariès de cet opéra. Karl actionne le portail et le conduit au porche de la splendide propriété de Lucilie, lui tint la porte, Lucilie se trouve en haut des marches et l’accueille bras ouverts. Son apparence est hallucinante, envoutante… elle, très chaleureuse…
Fabrice lui suit au salon prestigieux, la demeure est exceptionnelle, tout est authentique. Lucille lui assigne une place, Fabrice s’enfonce dans le canapé, Lucilie s’est mise à son coté. L’assise profond, confortable fit libérer un genou et il partie de sa magnifique cuisse, Lucilie se tint de façon à bomber son buste. Elle lui dit :
- Une coupe, cher Fabrice?
- Avec plaisir Lucilie, à quoi trinquions-nous à présent ?
Le deuxième rôle de Karl était Maître d’Hôtel, il nous présenta des délicieuses petites bouchées.
- Oui, mon Fabrice, il y bien des choses qui vont changer au sein de mon établissement, et vous cher Fabrice, vous, vous y jouer un grand rôle. D’ores et déjà, je vous félicite pour votre nouvelle fonction de sous-directeur de l’entreprise, responsable commercial, poste dont vous vous ne rendez compte qu’à moi seule. Votre revenue sera consécutivement adapté en plus vous participer aux bénéfices. Qu’en dites-vous ?
- Waouh… à dire vrai… un coup de massue ! Je lève mon verre, chère Lucilie, à notre développement et je dois vous dire qu’il me tient terriblement à cœur ! Ai-je le mérité ? Et si un jour la conjoncture changera ?
- Primo : OUI ! Secundo : Vous seriez toujours mon sous-directeur. J’ajoute en Tertio : Vous avez mon entière confiance !
Karl venait de mettre un fond de musique dansante, resta à coté l’armoire gigantesque d’enceinte à attendre des instructions.
- Si vous voulez Fabrice, j’aimerais bien me balancer dans vos bras et valser.
Fabrice qui avait ses yeux rivés entre la cuisse et l’enivrant décolleté de Lucilie, se secouait et répondit :
- A le plus grand plaisir Lucilie
Il lui tint son bras et la fit danser, domaine où il était très à l’aise. Karl adaptait le son commandé par un regard de sa patronne et s’évinça.
- Serrez-moi plus fort Fabrice, vous danser divinement… Je me sens protégé dans vos bras…
Sans dire mot Fabrice la serra d’avantage, ce corps à corps et mouvement harmonieux, provoqua incontestablement un désir immuable et indissimulable.
- Vous savez, mon sous-directeur Fabrice, j’aimerais beaucoup qu’on se tutoie ?
- Franchement, que du plaisir pour moi Lucilie. Tu es une femme extraordinaire, en dehors de toute attente. Tout peut arriver avec toi ! Je…
- Allons ! Si tu commençais à m’embrasser ? J’ai très envie de sentir ta langue, tu fais de moi… une femme faible… J’aimerais beaucoup succomber à toi !
Il fut une seule réponse à cela : deux paires de lèvres qui se consomment, qui se consentent, qui s’entrainent… un très long moment. Puis ils se regardent, puis ils se trouvèrent complices.
Karl annonce discrètement que la table est prête. Ils passèrent, mains en mains à table, dressée et décorée avec un goût excise. Karl restera à notre disposition et une soubrette nous sert. Etiquette la maison veut qu’ils se trouvèrent en face à une table ovale, mais séparé à 1m50, mais l’ambiance restera velours. Fabrice n’a pas grandi dans le même milieu. Les délivrés au service sont comme transparent, utiles, serviables au moindre regard, mais inexistants. Chacun sait ce qu’il faut faire, sans paroles. La plus part de temps effectivement invisibles.
Les yeux des futurs amants brillent, car ils savent, qu’ils en deviendront. Plus de doute entre eux ! Incontestablement pris dans les mailles du filet. Il y du palpitant dans l’air. Plus de l’intimidation, aucune frontière sociale ne survint, par contre des yeux, …des yeux très lisibles…
On y parvint lire la suite… L’étincelle offrande, désir incontestable, sourire agréable, attachant, affectionnant, émuable…
Il revient sur table de choix du dessert, Fabrice en choisi Lucilie.
Les serviteurs fussent libérés. Avant de s’en aller Karl a saisi l’occasion de nous mettre un DVD à l’oreille : « I Will Always Love You » de Whitney Houston.
Durant ses ères, enlacés, Fabrice et Lucilie, n’ont pas décollées leurs bouches. Fabrice sentait le poids de ses seins sur lui. Lucilie, elle jouait avec l’enflure d’entrejambe de Fabrice jusqu’au… jusqu’au non-retour désireux du couple. Elle lui prenait par ses mains, le conduisit dans sa chambre. Elle remerciera la soubrette, laissant Fabrice œuvrer.
Elle s’était offerte en dessert. Elle n’y pensait plus aux mailles du filet, au sort jeté, dévolu prémédité, non, après toutes ses aventures, ses triques, ses dominations, gouinant….elle, Lucilie, elle se donnait avec un désir ardant en dessert à son amant et elle en était heureuse.
Heureuse ! Un mot, d’un coup, qui fut avoir une nouvelle signification pour Lucilie PDG, cheffe d’entreprise.
Fabrice trouvait ce « dessert » non pas seulement à son goût, avec la même application qui fut son succès en affaire, avec la même minutie de détails, il parvint à rendre folle de lui la PDG.
Le programme de Lucilie fut évincé, bouleversé, une place, un étendu de tendresse se développa entre les amants, hors de tout programme.
Lucilie sentait sa vie basculer, comme par don de nature ils se sont trouvés en tête-bêche à même du sol. Lucilie ressentait son cunnilingus comme pour la première fois, Fabrice la fellation, comme un don du ciel, d’une déesse. De découverte en découverte, ils se complairaient. Ils dirigeaient communément dans le plaisir, escalant sommet par sommet, l’étreinte dévorant, tantôt assoupissante, tantôt cinglante, ascendante, toujours, comme main en main, ils parures ensemble le paysage d’amour.
Ce fut le levé du jour qui les réveilla, les charges à accomplir de la journée de travail, qui les attendaient. Lucilie appela Karl et commanda de reconduire son amant, pendant qu’elle se prépara.
Imperceptiblement ils se retrouvèrent à leurs tâche de mettre en application les nouveautés bouvetâtes dans l’entreprise. Fabrice avait accroché lors son voyage des marchés qui vont au bas mot doubler les chiffres d’affaires de l’entreprise. Et il projette déjà d’autre cible, sur un autre continent.
Ils prennent contact avec un consortium de leaderships pour évaluer une entrée en bourse. Fabrice s’est vu attribuer la marche commerciale en intégrale, Lucilie dirigea la production de l’entreprise d’une main de fer, mais ses rapports avec les collaborateurs fut meilleur qu’avant. Ils la savent très amoureuse, mais boulot, c’est le boulot.


(Pourquoi ne pas mixer et romancer un coup de foutre ? Qu’en pensez-vous ?)

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